Haut-Karabakh : une lumière sur la guerre

2 Oct, 2020 | SOCIÉTÉ DE BIEN COMMUN, TEMOIGNAGES

Arthur Fouchère est grand reporter en presse écrite.
Cet article est issu de l’ouvrage « Société de Bien Commun vol.2, révéler l’humanité, combattre l’inhumanité ».

Dans les deux camps, la génération ayant connu la guerre ne veut pas pardonner. Mais du côté des jeunes, bien que de nombreux blocages persistent, une curiosité existe et une réelle volonté de se connaître est perceptible.

Depuis ma tendre enfance, j’ai toujours rêvé d’être reporter en presse écrite, de parcourir le monde et d’analyser en profondeur certaines problématiques complexes, pour en expliquer les enjeux et surtout les nuances. Après avoir obtenu un master en droit international à Assas, je suis devenu journaliste, puis photographe. Pendant quatre ans, j’ai collaboré à différents médias, comme France 24 et le groupe Les Échos. Une expérience indispensable mais progressivement frustrante, ne pouvant pas toujours exploiter pleinement mon potentiel intellectuel, mes idées, ma sensibilité. Ma soif d’aller à la rencontre des gens, sur le terrain, en prenant le temps d’écouter, de comprendre, de décortiquer n’était pas comblée. C’est pourquoi en mars 2015, à l’âge de 31 ans, je décide de tout quitter, sans filet, pour initier mes propres reportages, exclusivement des enquêtes et analyses sur le long terme, proposées en aval à des médias que j’estime pour leur rigueur (ces médias apparaissent en note de bas de page à chaque mention de reportage). Un défi, une aventure toujours en cours, qui a affiné ma perception du monde, me rendant plus patient et, je l’espère, plus tolérant.

C’est sur Detroit (1), ville américaine qui venait de faire faillite, que je me suis d’abord penché, avant de me rendre dans la préfecture de Fukushima (2) et sur la côte nord-est japonaise pour faire le point sur les conditions de vie des évacués, cinq ans après le terrible tsunami de 2011. J’ai profité d’être au Japon pour étudier le marché – encore naissant – de la robotique humanoïde (3), notamment d’aide à la personne. Puis, en 2017, c’est le Kazakhstan (4) qui a été mon sujet d’étude principal, à travers ses enjeux économiques, sociaux et géopolitiques.
À l’heure où j’écris ces lignes, il s’est écoulé quelques mois depuis la publication de mon tout dernier reportage (5), réalisé pendant l’été 2017, sur les liens entre l’Azerbaïdjan et le Haut-Karabakh. C’est cette aventure que je relate ici.

À l’âge de 31 ans, je décide de tout quitter, sans filet, pour initier mes propres reportages, exclusivement des enquêtes et analyses sur le long terme, proposées en aval à des médias que j’estime pour leur rigueur.

C’est en interrogeant le Président du comité d’exécution des arrêts de la Cour européenne des droits de l’homme que j’ai entendu parler, pour la première fois, du Haut- Karabakh (ou Nagorno-Karabakh). Je dois donc concéder que j’ignorais tout de cet état auto-proclamé en 1991, à la chute de l’Union soviétique. D’abord intrigué par ce petit pays non reconnu par la communauté internationale, j’ai immédiatement ressenti l’envie d’explorer la dimension humaine du conflit gelé qui l’oppose à l’Azerbaïdjan. Deux populations, Arméniens Karabakhtsis et Azéris (6), sont séparés par une ligne de cessez- le-feu de 300 kilomètres. Tracée le 16 mai 1994, sans accord de paix, à l’issue de trois années de guerre ayant fait dans les deux camps 30000 morts et plus d’un million de déplacés internes et réfugiés, cette frontière précaire est encore régulièrement le théâtre de heurts. En avril 2016, les hostilités ont repris avec une guerre éclair, dite « des quatre jours », qui a causé plus d’une centaine de victimes de part et d’autre de la ligne de front. Cette offensive de Bakou, capitale de l’Azerbaïdjan, lui a fait prendre l’ascendant en récupérant une portion symbolique – une dizaine de km2 – sur les 8 000 km2 de territoires cédés au Haut- Karabakh en 1994 après la déroute de l’armée azérie. Depuis, chaque mois, des Azéris et Karabakhtsis perdent la vie autour de la ligne de contact.

Majestueuse terre montagneuse, le Haut-Karabakh a été balloté au sein de la Transcau À casie, au fil des invasions. Historiquement arménien, il a appartenu au Royaume d’Arménie dès le IIème siècle avant J-C, avant d’être intégré au IVème siècle à celui d’Aghbanie, berceau du peuple azéri, sous l’empire Sassanide. En 1921, il fut rattaché en tant que région autonome à l’ex-République socialiste soviétique d’Azerbaïdjan par le bureau caucasien du parti bolchévique sous l’influence, selon les Arméniens, de Joseph Staline alors commissaire aux nationalités. En 1988, profitant de la dislocation de l’URSS, le Haut- Karabakh invoque la loi soviétique pour réclamer, en vain, son rattachement à la République socialiste soviétique (RSS) d’Arménie, avant de finalement voter son indépendance, le 2 septembre 1991, dans le sillage d’Erevan, capitale de l’Arménie, et de Bakou.

Les superbes montagnes du Haut-Karabakh

Peuplée de 151 000 âmes dont 98 % d’Arméniens (77 % pour 21 % d’Azéris, en 1989), celle que ses habitants nomment depuis 2017 la République d’Artsakh, en référence à la dixième province de l’ancien Royaume d’Arménie, n’a pourtant jamais été reconnue par la communauté internationale et est plus que jamais revendiquée par Bakou, au nom du droit au respect de l’intégrité territoriale. Fort de ses institutions démocratiques – un président, un parlement monocaméral, une liberté d’expression – le Haut-Karabakh lui oppose le principe de l’autodétermination des peuples, invoquant les discriminations ethniques (notamment les pogroms anti-Arméniens) subies au cours du XXème siècle.

Ce reportage de l’été 2017 a été mon premier conflit armé en tant que journaliste, une tâche encore plus ardue que ce que j’imaginais. Au-delà des risques pris en me rendant dans la ville évacuée de Talish, dans la région de Martakert, au Haut-Karabakh, à moins d’1 km de la ligne de front où quelques habitants tentent de reconstruire leur demeure, c’est davantage l’enquête elle-même, à travers ses aspects historiques, sociaux, éthiques et psychologiques, qui a été complexe à appréhender. Comprendre un conflit tout en restant impartial et nuancé, est une expérience particulièrement complexe : elle constitue un travail et une concentration de chaque instant, un véritable défi ! Sans cesse, il m’a fallu prendre du recul, de la distance émotionnelle vis-à-vis des habitants des deux camps avec lesquels, pour la plupart, des liens d’amitié sincères et désintéressés se sont noués. L’Azerbaïdjan étant un régime autoritaire, finement muselé par le clan de son président, l’autocrate Ilham Aliev (qui propage sans vergogne la négation du caractère génocidaire des massacres des Arméniens en 1915 par l’empire Ottoman), j’ai choisi d’y enquêter en immersion, sans dévoiler mon statut de journaliste, pour garder mon indépendance et assurer ma liberté d’expression. Quant à ma progression au sein du Haut-Karabakh, état en quête de reconnaissance et de légitimité, elle a été beaucoup plus simple : les portes m’étaient grandes ouvertes. Je m’y suis rendu en fin de parcours, l’entrée en Azerbaïdjan étant interdite à tout voyageur ayant pénétré préalablement sur le sol arménien.

Une chose que je retiens de ce reportage : lorsque l’on s’adresse au lecteur, il faut constamment s’efforcer, dans les formulations employées, de dissocier les élites dirigeantes du peuple qui compose le pays. Cette remarque peut paraître évidente, mais la critique médiatique régulière d’un État, d’un point de vue politique ou culturel, offre une image tronquée, stéréotypée et souvent négative des habitants du pays en question, menant à l’intolérance et à des peurs injustifiées. Or, s’agissant de ce conflit, il ne faut évidemment pas occulter l’horreur vécue par le peuple azéri, victime, au même titre que le peuple karabakhtsi, de déplacements internes massifs, à l’issue de la guerre d’indépendance en 1994.

Comprendre un conflit tout en restant impartial est une expérience particulièrement complexe : elle constitue un travail et une concentration de chaque instant.


Les deux peuples ont énormément souffert et souffrent encore dans leur chair de ce conflit. Ce dernier, en plus des milliers de victimes qu’il a engendrées, a entraîné le déplacement de 650 000 Azéris et 400 000 Arméniens. Au Haut-Karabakh, ces personnes ont vécu dans des conditions d’extrême pauvreté, avec une aide internationale
réduite au minimum, la région n’ayant aucune reconnaissance juridique internationale. En Azerbaïdjan, si le dernier camp d’urgence a officiellement été fermé par les autorités azéries en 2008, « il reste encore, selon le Haut-Commissariat aux Réfugiés, des centaines de milliers de personnes dans des conditions d’hébergement précaires, tels que d’anciens bâtiments soviétiques à l’abandon ou des dortoirs d’université » précise Henri Duquenne, porte-parole du représentant spécial de l’Union européenne pour le Caucase du sud et la crise en Géorgie. Ces personnes ont dû fuir les sept régions adjacentes au Haut-Karabakh : « territoires occupés » selon Bakou et les résolutions de l’ONU de 1993, zones simplement « contrôlées » pour Stepanakert (7) et qui, pour l’heure, servent de zone tampon, empêchant ainsi une offensive de plus grande ampleur de la part de l’armée azérie.

Des enfants jouant dans les rues de Stepanakert

La dimension psychologique est une autre clé de lecture pour comprendre la logique de ce conflit. Comprendre comment les deux populations, qui ne se sont jamais rencontrées, sont conditionnées à se haïr. Un conflit ethnico-territorial qui transcende la dimension confessionnelle. Jamais – ou très rarement – je n’ai entendu un Arménien critiquer l’ennemi à travers sa religion (islam chiite, pratiqué modestement dans cette république laïque), comme aucun Azéri n’a ouvertement critiqué la chrétienté des habitants du Haut-Karabakh (église apostolique – orthodoxe – d’Arménie, très prégnante dans le quotidien des Arméniens).

Au fil de mes rencontres, j’ai su trouver des circonstances atténuantes aux convictions des Azéris, qui baignent dans une scandaleuse propagande d’État. Les manuels scolaires font totalement l’impasse sur le génocide arménien et la question du Haut-Karabakh est principalement évoquée comme sujet de diversion lorsque la situation économique faiblit et que la gronde sociale s’exprime dans le pays. Hors du riche centre de Bakou, l’Azerbaïdjanet ses immenses réserves de pétrole en mer Caspienne est un pays aux inégalités criantes, bien que les infrastructures se modernisent peu à peu. Si beaucoup considèrent que le territoire du Haut-Karabakh doit impérativement leur revenir, d’autres ne sont pas dupes. « Notre président invoque la question du Haut-Karabakh lorsque la situation économique lui échappe. Comme par hasard, le conflit armé a repris alors que des manifestations émaillaient le pays, frappé par la crise des prix du pétrole en 2016. » confiait un jeune couple d’artistes de passage à Ganja (8). Le pays a en effet subi une forte inflation après l’importante dévaluation de sa monnaie, le Manat, tandis que le budget militaire a plus que quintuplé en quinze ans !
Du côté des Karabakhtsis, le traumatisme de la guerre, et plus anciennement du génocide, toujours nié par l’actuel régime politique turc, allié historique de Bakou, consolide un sentiment anti-Azéris indéniable. Mais que je perçois davantage comme un mécanisme de défense psychologique.

Dans les deux camps, la génération ayant connu la guerre ne veut pas pardonner. Mais du côté des jeunes, bien que de nombreux blocages persistent, une curiosité existe et une réelle volonté de se connaître (même timidement – voire honteusement – reconnue) est perceptible. J’ai beaucoup interrogé ces populations sur la possibilité de créer des
ponts, même modestes, entre les jeunes générations, notamment via internet ou un pays tiers. Un défi qui relève du fantasme pour beaucoup, tant les activistes des droits de l’homme ont été muselés depuis dix ans en Azerbaïdjan. Les jeunes du Haut-Karabakh, entre fierté et doutes, aspirent à s’ouvrir au monde. Pour ces jeunes gens, l’ennemi azéri est à la fois un danger et un mythe, difficile à se représenter. À Stepanakert, ma rencontre avec Anna, tout juste 18 ans, a été particulièrement enrichissante. En parallèle de ses études, cette jeune fille réservée et mature a intégré le centre Tumo (9), un pôle d’excellence spécialisé dans les nouvelles technologies, ouvert gratuitement aux 12-18 ans, créé par Sam Simonian, un mécène issu de la diaspora arménienne. Lancé en Arménie en 2011 puis en septembre 2015 à Stepanakert, Tumo constitue pour beaucoup l’espoir et le futur de la communauté arménienne. Le soir, Anna se rend dans le restaurant « Mickey Mouse » de Serjo, discret et sympathique jeune homme de 23 ans. En parallèle de son métier de journaliste, ce dernier vient d’ouvrir ce lieu convivial qui jouxte un centre d’animation pour enfants. « Mon rêve dans la vie ? La paix et l’indépendance de l’Artsakh ! Pour le moment, les seules choses que j’ai vues des Azéris, ce sont des vidéos montrant une hostilité à notre égard. Ce qui entretient la haine chez nous, en mécanisme de défense. Mais je sais au fond de moi que nos deux peuples ont une vision biaisée. Nous pourrions apprendre à nous connaître, si seulement nous en avions la possibilité. » confesse-t-il avec émotion et pudeur.

En attendant la paix, le Haut-Karabakh n’a pas d’autres choix que de pérenniser sa croissance (10 % en moyenne depuis dix ans) et d’éviter de se replier sur lui-même. Son économie, relativement diversifiée (hydroélectricité, industrie extractive comme le cuivre, eau de vie), est très dépendante de l’Arménie, qui alimente encore près de la moitié de son budget (93 millions de dollars sur les 195 millions du budget 2017). « Ces prêts, dont le remboursement n’a jamais été exigé, correspondent à la compensation des frais de douane des articles karabakhtsis qui transitent par l’Arménie » explique Hayk Khanumyan, unique député de l’un des partis d’opposition Renaissance nationale. Intégrés dans une « zone économique arménienne » reconnue par le FMI et la banque mondiale, ces produits aux standards arméniens circulent principalement via le corridor de Latchin10. Territoire enclavé, le Haut-Karabakh est donc soutenu à bout de bras par une Arménie elle-même isolée du reste du Caucase du sud où les pipelines azéris, qui la contournent par la Géorgie, rejoignent l’ennemi turc.


À moins de 30 km de Talish, dans la ville de Barda en Azerbaïdjan, Cavid regarde à la télévision les images d’une contre-offensive karabakhtsie début juillet 2017, sur la ville d’Alkhanly. Les autorités du Haut-Karabakh accusent Bakou de ne pas respecter les conventions internationales et d’utiliser sa population comme chair à canon, invoquant la présence de bases militaires azéries à proximité de leurs villages. Depuis plus de vingt ans, les deux voisins ennemis s’accusent mutuellement de violer en permanence le cessez-le-feu. L’Arménie a demandé qu’une mission d’observation soit mise en place sous l’égide de l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) mais se heurte au refus catégorique de l’Azerbaïdjan.

Cavid, jeune habitant de Barda et l’imam de la ville

À 26 ans, Cavid travaille dans le secteur pétrolier et vit dans une demeure délabrée à laquelle il a su néanmoins donner une âme. Sa mère est partie avec sa soeur à Bakou. Lui, en attendant de rejoindre la Russie pour un meilleur avenir professionnel, veille sur son père. Las de toute cette violence, le jeune homme ne peut s’empêcher de soupirer. « Notre peuple veut la paix, tout le monde veut la paix ! Mais nous ne sommes pas les seuls à avoir du sang sur les mains. Les Arméniens ont aussi leur part de responsabilité en tuant des civils, même involontairement. Ce conflit est vraiment complexe, un cercle vicieux. » commente-t-il, tout en traitant son président – l’autocrate Ilham Aliev – de « dictateur ». « J’avoue ne jamais avoir essayé d’entrer en contact à distance avec un habitant du Karabakh. Je risque d’être arrêté si l’on intercepte une conversation par téléphone, des messages privés ou des mentions sur les réseaux sociaux. » poursuit-il, à la fois lucide et résigné. Dès qu’il le peut, Cavid retrouve ses amis d’enfance dans l’un des squares de Barda, pittoresque ville de 40 000 habitants, traversée par la rivière Tartar, pour refaire le monde autour d’un thé et de sodas. Parler du Haut-Karabakh leur semble aussi inquiétant qu’intriguant. « Il paraît que c’est très beau, mais nous ne pourrons jamais y aller, comme il nous est également interdit d’aller simplement en Arménie. Peut-être qu’un jour nous tisserons des liens d’amitié avec eux. Tu nous raconteras ! » s’exclame d’un air candide Tural, son meilleur ami, avec qui je reste en contact.

Aujourd’hui, les espoirs d’un accord de paix à court et moyen terme sont minces. Bakou et Erevan, qui représentent le Haut-Karabakh sans oser reconnaître pour autant son indépendance au risque d’enflammer le conflit armé, s’appuient depuis 1992 sur la médiation du groupe de Minsk (11), présidé par les États-Unis, la France et la Russie. Mais alors que les deux parties en conflit ne paraissent pas prêtes à faire les concessions nécessaires à un accord de paix, le trio diplomatique semble pour sa part se satisfaire d’un statu quo. Les premiers (France et USA) étant partagés entre leur attachement à la diaspora arménienne, fortement représentée dans leur pays, et leurs relations économiques avec Bakou. Quant à la Russie, possédant des bases militaires sur le territoire arménien, elle adopte aujourd’hui une posture toujours plus ambigüe en armant les deux États. L’armée azérie, qui peut également compter sur le soutien logistique d’Israël (dont le but est de surveiller l’Iran), écraserait le Haut-Karabakh si une guerre totale reprenait.

Territoires interdits, peuples diabolisés, il existe pourtant une lueur d’espoir dans les yeux de ces hommes et femmes, au-delà du discours propagandiste et du conflit ethno-territorial fantasmé. Si on leur a appris à haïr l’autre, Karabakhtsis et Azéris ont encore leur libre arbitre et leur coeur pour vaincre les préjugés et croire à la prétendue impossible réconciliation. C’est ce message que j’ai essayé, modestement, de véhiculer à travers ce reportage.

>> Pour approfondir cette réflexion sur la Société de Bien Commun, cliquer ici. <<

Ce livre est un appel lancé aux femmes et aux hommes d’ici et d’aujourd’hui : les idées pour humaniser le monde se trouvent dans la vie de tous les jours ! Nous sommes tous de potentiels acteurs de cette conversion positive. Pourquoi pas vous ?


  1. https://docs.wixstatic.com/ugd/808a02_8f706aa753ce41b7a2618d2e1cb4e8ea.pdf
  2. http://information.tv5monde.com/info/fukushima-5-ans-apres-le-retour-forcedes-evacues-nucleaires-ou-le-dilemme-des-evacues
  3. https://www.monde-diplomatique.fr/2016/08/FOUCHERE/56093
  4. https://www.monde-diplomatique.fr/2017/09/FOUCHERE/57872
    https://www.monde-diplomatique.fr/2017/06/FOUCHERE/57559
  5. https://8e-etage.fr/2017/11/13/auhaut-karabakh-25-ans-de-conflit-absurde
  6. Les Azéris sont les habitants de l’Azerbaïdjan. On parle également d’Azerbaïdjanais.
  7. Stepanakert est la capitale du Haut-Karabakh. On écrit souvent aussi Haut-Karabagh.
  8. Ganja est la seconde ville d’Azerbaïdjan.
  9. http://www.bfmtv.com/international/tumo-l-ecole-d-informatique-armenienne-qui-inspire-paris-1371448.html
  10. Le corridor de Latchin ou de Berdzor est un col d’Azerbaïdjan. Il s’agit de la voie d’accès la plus courte entre l’Arménie et le Haut-Karabagh.
  11. Le Groupe de Minsk est créé en 1992 par la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), devenue
  12. aujourd’hui l’OSCE. Ce groupe se présentait alors comme une organisation européenne chargée d’encourager la recherche d’une résolution pacifique et négociée entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, lors du conflit les opposant sur le Haut-Karabagh.

Je soutiens le Courant pour une écologie humaine

 Générateur d’espérance